Le Steve Miller Band à Paris au Zénith le 14 octobre.
Info qui n'évoquera sans doute pas grand chose pour la majorité des jeunes invités de claptonweb mais qui me rappelle pas mal de souvenirs “planants” datant des seventies.
En deux mots, formé à Chicago en 65, le Steve Miller Blues Band émigra sur la côte ouest en 67 après avoir accompagné Chuck Berry au Fillmore West. Ils émergèrent au Monterey Pop Festival en partie grâce à la présence de leur guitariste d'alors, Boz Scaggs. Puis le “psychédélique” cher à l'époque aux bronzés de Frisco l'emporta sur le blues...
Miller nous revient après 17 ans d'absence avec un album ciblé blues et titré “Bingo!” comportant des reprises des répertoires de BB King, Jimmy Vaughan, Lowell Fulson, Jimmy Reed ou encore Otis Redding et intégrant quelques chorus de Joe Satriani. Opus qui sera suivi d'un volume 2 comportant une époustouflante (paraît-il) version de Sweet Home Chicago.
Reste à savoir ce que cela donnera sur scène...

J'ai des doutes car il me semble que Bercy c'était en 2000 et non en 2001. L'un de ses concerts les plus pourris auxquels j'ai pu assister. Heureusement il y eut 2004 où il se réveilla quelque peu, puis 2006 avec Derek le roi de la slide et enfin l'apothéose cette année.

J'ai comme qui dirait l'impression que pour une majorité de nouveaux membres, les “paternels” ont eu une influence déterminante !

Et puis toutes ces feuilles sur les pavés devant son 4X4, ça fait désordre... A croire qu'il ne sait pas que “les feuilles mortes se ramassent à la pelle” !

“Le Defender de Land Rover... So British”.
Tu parles !... Land Rover est depuis 2008 la propriété de Tata Motors, filiale automobile du groupe indien Tata.

Mais non, mais non, Julie-Rose adôôôre les Ferrari.
Quant à promener les deux autres schtroumphs, je pense que Melia doit avoir les clefs du Porsche Cayenne...
Et ne pas oublier que Eric est un grand pêcheur (de truites) devant l'éternel et un fameux chasseur en devenir !

A quoi ça lui sert ce tank ???...
ben, a aller à la pêche bien sûr, parce qu'en Ferrari ça l'fait pas !
A moins que ce soit pour “grimper” plus facilement sur les trottoirs londoniens...

Ah oui ed, What's Shakin', je l'avais totalement oublié celui-ci... Faut dire que je ne le sors pas souvent de sa pochette !
Et j'ajouterai le 45 tours (vinyl Decca, paru en 67) John Mayall's Bluesbreakers with Paul Butterfield où figurent notamment deux titres qui valent le détour :
All My Life et Riding On The L&N.

Voilà, voilà, j'arrive, mais ça va être bref...

Comme l'a fort justement précisé Edblues, East-West est certainement le meilleur album du Paul Butterfield BB (paru en 66) qui plus est avec Mike Bloomfield à la Les Paul. J'apprécie également beaucoup The Resurrection Of Pigboy Crabshaw (67) avec le talentueux Elvin Bishop.
Le tout premier album du grupe, intitulé sobrement Paul Butterfield BB (65), est pas mal non plus mais moins abouti à mon goût.
En 67, Bloomfield quitte Butterfield pour fonder l'éphémère Electric Flag et sort un album magistral en 68 - A Long Time Comin' - avant de se réunir avec Al Kooper (en 68) pour pondre ce que je considère comme une œuvre d'art, à savoir Super Session, qui sera suivi du remarquable The Live Adventures Of Mike Bloomfield & Al Kooper, enregistré au Fillmore West à San Francisco (68).

Mike Bloomfield est retrouvé mort dans sa voiture en 81 (overdose).
Paul Butterfield, malade (alcool, drogues) décède en 87.

Si tu veux des détails, je possède les principaux albums du PB Bluesband. Excellentissime...

On trouve tout dans la poubelle du net !
Morgane, les rigolos de AllPosters peuvent aller se rhabiller vite fait.
Ce n'est évidemment pas Clapton...

Quant au “vrai Eric” posté par Arnaud, il s'agit là malheureusement de sa période “joufflu bien imbibé”.