Voici un petit lien avec une charmante petit video du titre "sea of joy" sortie du dvd pr vous faire une idée....
http://www.blindfaithdvd.com/

enjoy

Une petite question se pose...

Est-ce Claude1 sous LSD que l'on voit se tortiller en début de vidéo?

non... Claude1 s'est le mec avec les énormes rouflaquettes qui se démène en fin de vidéo et dans la galerie photos !!!

Tu es le plus fort Nono, c'est magnifique ce que tu nous trouve là ! On se régale !

Mais explique moi, tu les connais ces sites ou bien tu les trouves par hazard ?

Chapeau Nono,

Petite idée supplémentaire donc en perspective.
Je vais attendre un peu pour m'offrir ce DVD.

Tout comme Clapton qui s'est laissé embarqué dans l'aventure, regardé comme il est enthousiaste, j'attendrai que le prix soit plus favorable pour me le procurer comme, disons, archive.

Toutefois, et une fois encore, des prouesses technologiques ont été réalisé tant le son ( je ne parle pas de ce qui est filmé ??? ) à l'ai de bonne qualité.

A+

Pour moi le choix ne se pose pas je ne l'ai meme pas vu en magasin
Mais c'est toujours agréable de mettre des images sur des
cd que l'ont écoute depuis des années

Suite aux divers problèmes rencontrés sur le site je n'ai pas pu répondre (répliquer ?) avant.

D'abord cher Lestat, quelle idée d'imaginer des trucs pareils ! Si vraiment tu veux me voir regarde bien dans l'arbre !

Secundo, le son est identique à ce que j'entendais (les coups de vent en moins sur la video), c'est-à-dire une omniprésence vocale de Winwood qui, dans les aigus,ne m'a jamais époustouflé.
Et quand je racontais que Clapton n'avait pas l'air dans son assiette ce jour là, je pense que maintenant vous me croyez!
Enfin, 36 ans après, ça fait tout drôle de retrouver l'endroit, l'ambiance cool “à la british” (vous avez vu le lac ? Certains qui ne pouvaient plus accéder au site à partir de 11h louaient des barques pour pouvoir approcher de la scène !), la curiosité envers ce fameux superhypergroup, la ferveur ambiante et... la déception finale qu'on ne verra sûrement pas sur le DVD (vu la promo !)...

ouais en tt cas çà nous donne une idée du rendu....
et je dois avouer que l'idée me rapelle un certain woodstock aussi...le bain de boue en moins

Je viens de visionner la video de Blind Faith à Hyde Park, video que j’avais déjà depuis quelques jours mais que je n’avais pas encore eu le tps de regarder…
alors voici mes 1ères impressions…

Je ne sais pas à quelle heure se déroulait l’événement mais mis à part Steve Winwood qui à l’air bien éveillé, les 3 autres ont vraiment l’air de sortir du leur pieu !
Le début du concert est très mou et on dirait Winwood accompagné par un groupe de moyen niveau.
Néanmoins, Sleeping in the ground sonne meilleur qu’en studio et Under my thumb est une très belle chanson mais Clapton, malgré une rythmique impeccable et soignée tout au long du concert n’est jamais inspiré pour ses chorus. Il n’est pas aidé non plus par Grech qui à l’air totalement coincé…
Le groupe se réveille en douceur pour Can’t find my way home, histoire de préparer Do what you like. Mais sur ce dernier morceau, il n’y a qu’un court solo d’orgue et un court solo de batterie. Décevant. Très décevant. C’était pourtant l’occasion pour tout le monde de se « défoncer », non ?
Sur Presence of the lord, Clapton n’est pas plus inspiré sur le solo, chanson qu’il a pourtant écrite !
Avant Means to an end, Winwood annonce la fin (déjà!). Clapton à dû comprendre qu’il ne fallait pas partire comme ça et le solo se retrouve tout à coup beaucoup plus inspiré et mieux construit.
Sur le dernier titre, Had to cry today, on a l’impression qu’il s’agit d’un tout autre concert. Le groupe est pleinement réveillé et se retrouve en totale communion. Le solo d’Eric est superbe et vaut la peine d’être écouté.
Faut-il acheter ce DVD pour ce dernier titre uniquement ? Je ne sais pas. Mais selon moi, je pense qu’une édition CD aurait pleinement suffit.
On sent vraiment une fracture entre Winwood et le reste du groupe. Peut-être parce qu’il a toutes les parties vocales mais je pense qu’il était nettement plus à l’aise que les trois autres. Malgré une très belle voix pourtant, elle déraille de temps à autre dans les aiguës. Devant 100 000 personnes, ça la fait un peu mal… Mais à voir l'état général du public, ça n’a pas dû beaucoup les gêner ! (Evidement je ne parle pas de Claude1 qui lui, a réussi à grimpé dans son arbre perché. Mais dit-moi, as-tu vu de là haut, l’avion métallique qui fait la pochette de l’album de Blind Faith, posé sur le piano électrique de Winwood ?)

On ne pas dire que Clapton démérite totalement car en guitare rythmique, on peu voir qu’il excelle également dans ce registre. Mais, à part Sleeping in the ground et la toute fin du concert, ces solos sont mous et sans saveur. Mous tout comme Baker et Grech qui ne prenne le wagon qu’à la fin également.

Alors là, j'applaudis ! On dirait que tu y étais Boogaloo... Incroyable !
En ce qui me concerne j'étais à peu près au milieu de la fourmilière, c'est-à-dire quelques rangs devant les barrières de séparation centrales... mais pas dans l'arbre (ça c'était juste un clin d'œil à l'ami Lestat !).
Le concert a débuté aux alentours de 14h/14h30 avec Donovan en première partie, un break (nécessaire pour évacuer quelques “nauséeux” présents depuis 9h du matin ) puis Blind Faith. J'ai du arriver aux alentours de 11h/11h30, d'où ma place un peu éloignée. Le gros problème, c'était le vent, un vent tournoyant qui noyait le son dans les décors de temps à autre (voir la permanente en pétard de Grech).
Mais c'est vrai, j'ai eu l'impression que nos quatre compères sortaient d'un repas copieux et qu'ils avaient du mal à se réveiller de leur sieste... En fait ils avaient tout simplement la trouille par manque de répétitions sérieuses, d'autant plus qu'ils ne pensaient pas réunir autant de monde (plus de 100 000 personnes) dans la cuvette de Hyde Park. Ils savaient pourtant que c'était gratuit et que la presse musicale british s'en donnait à cœur joie depuis plusieurs jours !
A part les avions “in the sky”, tu te doutes que j'ai pas vu celui de Winwood posé sur son clavier. Un Winwood qui m'a copieusement énervé avec sa voie éraillée dans les aigus et parfois dissonante.
D'accord avec toi, ça commençait à se réveiller un peu vers la fin mais c'était trop tard. A part quelques “allumés” personne ne semblait être dupe... Et quand je pense qu'ils se sont donnés à fond aux States quelque temps plus tard, je me dis qu'essayer de comprendre les artistes, ça me donne parfois une idée incommensurable de l'infini !!!