Voilà, voilà, IFF !
Bon, grosso modo, si je me souviens bien car je ne me passe pas l'interview en boucle, il a d'abord l'honnêteté de préciser qu'il n'a pas écrit le bouquin tout seul mais qu'il l'a plutôt réécrit (rewrité). Ensuite que son enfance avec ses grands-parents, qu'il prenait pour ses parents, s'est parfaitement déroulée jusqu'à ce qu'il apprenne que celle qu'il croyait être sa sœur était en réalité sa mère (tu suis là ?). Que ce n'est pas pour ça qu'il a voulu s'exprimer à travers la musique puisqu'il a été attirée profondément par elle dès l'âge de quatre ou cinq ans. Qu'il s'est senti investi d'une mission au niveau musical jusqu'à l'âge de vingt ans, que ça lui prenait tout son temps et qu'il n'était pas alors attiré par les addictions. Lesquelles n'ont commencé qu'à partir de la période avec Cream peut-être parce qu'il avait le besoin de se sécuriser. Verbe qu'il emploie aussi en parlant de sa love-story avec Patty, la femme de son meilleur ami, lequel la délaissait quelque peu, donc il a sauté sur l'occase (il dit pas exactement ça mais ça veut dire la même chose. Tu suis toujours là ?). Que la drogue et l'alccol, c'était aussi une façon de lui donner du courage et que sans ça il se serait peut-être suicidé. Que la mort de son fils qu'il n'a jamais réussi à comprendre restera à jamais pour lui une cicatrice, laquelle est appelée à se réouvrir de temps à autre jusqu'à sa mort en fonction des circonstances présentes. Et enfin que les Beatles c'était de la merde (là j'extrapole un peu ...) et qu'il faut surtout ne pas hésiter à acheter son bouquin (enfin je pense, c'est ma façon d'interprêter son sourire à la fin de l'interview !)
J'ai du oublier quelques passages mais c'est pas grave puisque tout est gravé à jamais dans les pages que je suppose tu liras avidement le soir à la chandelle...
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A bon???
Transfer
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mais ça rentre tout doucement 
