Lestat a écrit:
[quote]


c'est marrant ça parce que j'ai l'impression que nous étions tous dans les premiers rangs au Zénith en 98... enfin pas dans les deux premiers qui étaient réservés aux "pontes "de chez VW, sponsor de la tournée... quand je pense que ces enfoirés avait zappé la première partie assurée par Bonnie Raitt...

pour les places, c'était bien à la Cigale... je m'en souviens car après le concert, pour remercier les personnes que nous avions eu au téléphone pour la réservation, mon ex-femme leur avait envoyé une petite carte...

et nous sommes donc nombreux à avoir récupéré un des médiators balancés par Nathan à la fin du Concert...

Olivier a écrit:
Et bien que d’opinions. Pour ma part, il y a du vrai chez Sno et Pat06.

Réflexion perso en parallèle :
Hier ou avant-hier, je faisais un point discographique sur la carrière d’Eric. Enfin depuis « From the craddle ». Je m’explique.

J’ai l’impression, depuis ce dernier cité que mister Clapton rend hommage tout à tour à ses influences « adolescentes » et « formatrices ». Je continue l’explication.

Via « From the craddle », il a rendu hommage à certain(s) bluesman(s) (à Freddie King par exemple) par la même à « Beano ».

Ensuite, pour confirmer, il enregistre avec le « roi » BB King afin d’enfoncer le clou et de peaufiner l’hommage à l’une de ses influences. On pense aussi à Freddie et Albert du coup.

La suite, l’hommage à Robert Johnson, « La Source », « l’influence majeur » en quelques sortes.

Puis, nous arrive aujourd’hui ce disque avec J.J. Cale, autre influence importante de sa carrière. Et pour cause, « After Midnight, Cocaïne, etc ».

Manque un hommage à Dylan/Band, « Knockin' on heavens door, No reason to cry, etc »
Et aussi à Muddy Waters.

Je sais, il est difficile de résumé Clapton à ces quelques lignes mais c’est un peu la réflexion que je me suis faite.

a+